Ours Malais

Sun bear


ours malais
(Photo Valérie Abbott)

L'ours malais, appelé également ours des cocotiers est le plus petit des ursidés. Originaire d'Asie et présent notamment en Inde, en Indonésie ou encore dans le sud de la Chine, l'ours des cocotiers est un ours arboricole, qui passe le claire de son temps dans les arbres et est assez maladroit quand il s'agit de se déplacer au sol. Reconnaissable essentiellement à son pelage brun noir à poils courts et à sa poitrine orangée en forme de fer à cheval, l'ours malais est un ours omnivore, mais mange d'avantage de fruits que de petits animaux. Doté d'impressionnantes griffes et d'une énorme langue de 45 cm, l'ours malais se délecte également de miel. Menacé, à cause de la déforestation, et du trafic illégal de bile, l'ours malais qui contrairement à l'ours brun n'hiberne pas, fréquente les forêts tropicales humides.

  

NOM : Ours malais (Helarctos malayanus)

 

CLASSE : Mammifères

 

ORDRE : Carnivore

 

FAMILLE : Ursidés

 

TAILLE : longueur 1,10 m à 1,40 m, hauteur, 60 cm au garrot.

 

POIDS : 25 à 90 kg

 

DUREE DE VIE : 15 à 20 ans

 

REPARTITION : Inde, Bengladesh, Laos, Indonésie...

 

HABITAT : Forêt tropicale

 

ALIMENTATION : Omnivore : Miel, fruits, lézards, petits rongeurs...

 

REPRODUCTION : La maturité sexuelle de l'ours malais est atteinte à 3 ans, la durée de gestation est de 95 jours, et la femelle peut donner naissance à 2 oursons.

 

PREDATEURS :  L'homme

(Photo Franck Badet)
(Photo Franck Badet)
ours des cocotiers
(Photo Franck Badet)

ours malais
(Photo Valérie Abbott)
ours malais
(Photo Valérie Abbott)

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Comment les animaux perçoivent-ils le monde ? La vision expliquée simplement

Comment les animaux perçoivent-ils le monde ? La vision expliquée simplement
(Image source Pixnio)

Nous avons tendance à imaginer que les animaux voient comme nous. Pourtant, la réalité est très différente : certains voient la nuit comme en plein jour, d’autres perçoivent les ultraviolets, d’autres encore disposent d’un angle de vision immense. Comprendre la vision animale, c’est découvrir un monde parallèle, fait de lumières invisibles, de contrastes étonnants et de perceptions parfois inimaginables. Voici comment les animaux voient réellement le monde.

 

Vision animale vs vision humaine : les grandes différences

La vision repose sur trois éléments :

  • la forme de la pupille,

  • la proportion de bâtonnets et de cônes,

  • la structure de la rétine.

En modifiant ces paramètres, la nature a façonné des visions très différentes selon les besoins des espèces : chasser, fuir, voir de nuit, repérer un mouvement, etc.

 

Les grands types de vision animale

1. La vision nocturne (chats, chouettes, renards)

Les animaux nocturnes possèdent beaucoup de bâtonnets, les cellules sensibles à la faible lumière.
Ils disposent souvent d’un tapetum lucidum, une couche qui réfléchit la lumière et donne cet effet d’yeux brillants dans le noir.
Résultat : ils voient très bien dans la pénombre, mais les couleurs leur sont moins accessibles.

 

2. La vision UV (abeilles, papillons, oiseaux)

Beaucoup d’animaux voient les ultraviolets, une longueur d’onde totalement invisible pour nous.
Cela leur permet :

  • de repérer le pollen grâce à des motifs UV sur les fleurs,

  • d’identifier leurs congénères,

  • de se repérer dans l’espace.
    Les oiseaux, par exemple, utilisent l’UV pour distinguer les sexes, même lorsque les humains les voient identiques.

3. La vision panoramique (chevaux, lapins, gazelles)

Leurs yeux positionnés sur les côtés de la tête augmentent l’angle de vision jusqu’à nearly 330° chez le lapin.
Cette adaptation est parfaite pour repérer un prédateur sans bouger.
En revanche, leur vision binoculaire (en relief) est plus limitée.

 

4. La vision ultra-précise (aigles, faucons, buses)

Les rapaces diurnes voient entre 4 et 8 fois plus nettement que nous.
Ils détectent un petit rongeur à plus d’un kilomètre grâce à :

  • une très forte densité de cônes,

  • une fovéa profonde,

  • et une pupille qui laisse entrer beaucoup de lumière.

Pour eux, tout est plus net, plus précis, plus contrasté.

 

Pourquoi ces différences ?

La vision se développe en fonction des besoins écologiques :

  • chasser la nuit,

  • éviter les prédateurs,

  • repérer la nourriture,

  • séduire un partenaire,

  • naviguer dans un environnement complexe.

Chaque espèce évolue donc avec une vision optimisée pour sa survie.

 

Conclusion

 

La vision animale ouvre une fenêtre incroyable sur la diversité du vivant. Certains animaux voient des couleurs que nous ne pourrons jamais imaginer, d’autres perçoivent le moindre mouvement dans l’obscurité ou voient à des distances vertigineuses. Une simple photo d’œil de chat, d’aigle ou d’insecte suffit largement pour illustrer cette réalité étonnante.

Pourquoi certains animaux changent de couleur ? Les secrets de la chromatophorie

Pourquoi certains animaux changent de couleur ? Les secrets de la chromatophorie
(Image source Unsplash)

La capacité de changer de couleur fascine depuis toujours. Du caméléon qui se fond dans le décor à la seiche qui “danse” sous nos yeux, certains animaux possèdent une maîtrise exceptionnelle de leur apparence. Mais pourquoi changent-ils de couleur, et surtout, comment font-ils ? Ce phénomène repose sur un ensemble de cellules spécialisées et de mécanismes biologiques d’une finesse extraordinaire. Voici ce que la science nous apprend sur ce super-pouvoir du monde animal.

 

Les cellules responsables : les chromatophores

Le changement de couleur est rendu possible par des cellules pigmentaires appelées chromatophores.
On en distingue trois grandes familles :

  • Mélanophores : responsables des pigments sombres (noir, brun).

  • Xanthophores et érythrophores : pour les pigments jaunes, oranges et rouges.

  • Iridophores : réfléchissent la lumière et créent des effets métalliques, nacrés ou bleutés.

En se contractant ou en se dilatant, ces cellules modifient la manière dont la lumière est absorbée et renvoyée : la couleur change alors sous nos yeux.

 

Pourquoi les animaux changent-ils de couleur ?

 

1. Pour se camoufler

C’est la raison la plus connue. Le caméléon peut ajuster ses teintes pour se fondre dans l’environnement, réduisant sa visibilité aux yeux des prédateurs. La seiche, championne toutes catégories, peut imiter rochers, algues et même textures.

2. Pour communiquer

Chez de nombreuses espèces, la couleur sert de langage visuel.
Quelques exemples :

  • Les poissons tropicaux foncent leurs teintes lorsqu’ils deviennent agressifs.

  • Les caméléons mâles adoptent des couleurs plus vives lors des confrontations ou de la parade.

La couleur devient alors un signal émotionnel ou social.

3. Pour réguler la température

Devenir plus foncé permet d’absorber davantage de chaleur.
Certains reptiles modifient légèrement leur ton pour mieux capter le soleil ou, au contraire, éviter la surchauffe.

 

Exemples emblématiques

 

Le caméléon

Contrairement à la croyance populaire, le caméléon ne se rend pas invisible. Il combine camouflage, communication et thermorégulation grâce à un contrôle fin de ses chromatophores.

La seiche

Ce mollusque peut créer en une fraction de seconde des motifs complexes, des ondulations, et même des illusions d’optique. C’est l’un des animaux les plus sophistiqués en matière de camouflage actif.

Le poisson-perroquet

Capable de modifier progressivement sa robe selon l’âge, le sexe ou la période de reproduction.

 

Conclusion

 

Le changement de couleur n’est pas qu’un spectacle fascinant : c’est une stratégie de survie, de communication et d’adaptation d’une grande efficacité. Grâce à leurs chromatophores, certains animaux sont capables de véritables prouesses visuelles, témoignant de l’ingéniosité de l’évolution. Une seule photo de caméléon ou de seiche suffira pour illustrer cet article, tant le sujet parle de lui-même.

Vermifuge chien naturel : un allié essentiel pour la santé intestinale de votre compagnon

Vermifuge chien naturel : un allié essentiel pour la santé intestinale de votre compagnon
(Image source Pixabay)

Pourquoi choisir un vermifuge chien naturel ?

Protéger son chien contre les parasites internes est essentiel pour préserver sa santé, sa vitalité et son confort digestif. Face aux vermifuges chimiques parfois agressifs, de nombreux propriétaires se tournent vers des alternatives plus douces : les vermifuges naturels chien, formulés à partir de plantes et d’ingrédients reconnus pour leurs propriétés antiparasitaires.

 

Les bienfaits d’un vermifuge naturel

Une action respectueuse du système digestif

Contrairement aux molécules synthétiques, les solutions naturelles agissent en douceur. Elles aident à éliminer les vers ronds et les vers plats tout en préservant la flore intestinale et en soutenant l’immunité.

 

Des ingrédients aux propriétés antiparasitaires

Terre de diatomée, graines de courge, ail, thym, extraits végétaux… Ces composants contribuent à assainir l’intestin, réduire les inconforts digestifs et renforcer la barrière naturelle de l’organisme de votre toutou.

 

Comment bien vermifuger son chien naturellement ?

Fréquence et bonnes pratiques

Il est recommandé de vermifuger un chien tous les 2 à 3 mois, en adaptant la dose à son poids. Une observation régulière de son poil, de ses selles, de son appétit et de son énergie permet de repérer rapidement une infestation.

Pour quels chiens ?

Les vermifuges naturels conviennent à tous : chiots, adultes, chiens seniors, sensibles ou sportifs. Leur douceur en fait une option idéale pour une protection régulière et durable de votre animal de compagnie.

 

Une approche saine pour une vitalité durable de votre toutou

Adopter un vermifuge naturel chien, c’est offrir à votre compagnon une protection efficace, respectueuse de son organisme et compatible avec une routine de bien-être sur le long terme. Grâce à ces vermifuges naturels, les intestins de votre chien seront préservés contrairement aux vermifuges chimiques qui détruisent tout sur leur passage, impliquant souvent une diarrhée chez votre chien.

Les friandises naturelles pour chien : quels avantages et comment les choisir ?

Les friandises naturelles pour chien : quels avantages et comment les choisir ?
(Image source Pexels)

Les propriétaires de chiens cherchent de plus en plus à offrir à leurs compagnons une alimentation saine et équilibrée. Cette tendance concerne aussi les en-cas canins. Mais pourquoi faut-il se tourner vers des produits naturels plutôt que des options industrielles classiques ? Comment sélectionner la friandise idéale pour chaque profil de chien ? À travers cet article, découvrez des réponses claires et pratiques à ces questions.

Les friandises naturelles pour chien : une alternative bénéfique à tous égards

Les friandises naturelles pour chien se distinguent par leur composition simple et transparente. Sans nul doute, elles contiennent des protéines animales de qualité, sans additifs ni céréales inutiles. Ces produits misent sur des ingrédients bruts, souvent déshydratés, qui préservent les nutriments essentiels.

Les effets positifs sur la santé sont tangibles. D’abord, elles favorisent une digestion chien plus fluide, notamment chez les chiens sensibles. Ensuite, elles contribuent activement à la santé dentaire chien, grâce à la mastication canine, qui nettoie naturellement les dents et renforce les gencives. De plus, le plaisir de mâcher procure un très bon moment de détente. Choisir une friandise saine chien revient alors à améliorer le bien-être global de l’animal.

Comment choisir la friandise naturelle adaptée à son chien ?

Choisir la bonne friandise demande un minimum d’attention, car chaque chien possède des besoins spécifiques qu’il convient de respecter pour garantir son bien-être.

Prendre en compte le profil de l’animal

Pour bien sélectionner, vous devez considérer plusieurs critères :

  • La taille et l’âge du chien ;
  • Le niveau d’activité ;
  • Les allergies éventuelles ;
  • L’objectif recherché.

La taille et l’âge du chien déterminent d’abord la texture idéale. Une petite mâchoire réclame une friandise souple alors qu’un adulte préfère souvent une consistance ferme. Le niveau d’activité joue également un rôle important dans la composition nutritionnelle. Un chien sportif peut recevoir des friandises plus riches en protéines animales.

Par ailleurs, les allergies éventuelles doivent guider le choix des ingrédients. Un chien sensible réagit souvent mieux à des produits hypoallergéniques, comme certaines friandises mono-protéines spécialement conçues pour limiter les risques d’intolérance.

Enfin, l’objectif recherché vous permettra de choisir naturellement la forme de la friandise, qu’il s’agisse d’une récompense, d’un soin bucco-dentaire ou d’une alimentation complémentaire chien. En effet, tous les chiens n’ont pas les mêmes besoins. Dès lors, adapter le choix au profil garantit une utilisation optimale.

Quelques options naturelles populaires

Certaines friandises sont particulièrement appréciées pour leurs bienfaits. Les peaux séchées chien offrent une mastication prolongée, ce qui permet d’occuper efficacement l’animal tout en renforçant ses muscles masticatoires. Le fromage de yak constitue également une option durable et naturelle. Il est dépourvu d’additifs et de céréales.

Les oreilles de porc séchées apportent aussi une récompense savoureuse, tout en restant faciles à digérer pour la majorité des chiens. Ces produits naturels chien s’intègrent facilement dans une routine quotidienne.

En résumé, les friandises naturelles pour chien constituent une solution saine et savoureuse. Elles renforcent la santé bucco-dentaire, améliorent la digestion et participent au bien-être général. En choisissant avec soin, en tenant compte du profil de votre compagnon et en suivant quelques règles simples, vous lui offrez des moments de plaisir sûrs et équilibrés.

Les chevaux au cinéma : quand l’animal devient une star

Les chevaux au cinéma : quand l’animal devient une star
(Image source Pixabay)

Fiers, élégants et indomptables, les chevaux n’ont pas seulement conquis les plaines et les champs : ils ont aussi conquis le grand écran. Présents depuis les débuts du cinéma, ils incarnent la liberté, le courage, la loyauté… et souvent, l’âme même du héros. De « L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux » à « Spirit, l’étalon des plaines », ces animaux fascinants ont marqué des générations de spectateurs.

 

Le cheval, acteur incontournable du 7ᵉ art

Dès les premiers films muets, les chevaux occupent une place centrale. Les westerns américains ont fait d’eux les compagnons fidèles des cow-boys et des aventuriers. Le bruit des sabots sur la poussière, les galops sous le soleil couchant, les duels épiques : sans cheval, le mythe du Far West n’existerait pas.

Mais leur rôle ne s’arrête pas là. Le cheval est un symbole universel : il peut incarner la puissance, la liberté, la noblesse, la fragilité ou encore la rédemption. C’est un animal expressif, capable de transmettre des émotions avec une intensité rare. C’est pourquoi de nombreux réalisateurs l’ont filmé comme un personnage à part entière, et non comme un simple accessoire de décor.

 

Les stars équines qui ont marqué le cinéma

Certains chevaux sont devenus de véritables légendes du grand écran :

  • Spirit, dans Spirit, l’étalon des plaines (DreamWorks, 2002), est sans doute l’un des plus célèbres. Ce film d’animation, raconté à travers les yeux du cheval, a bouleversé les spectateurs par sa poésie et son message de liberté.

  • Joey, le héros du film Cheval de guerre (Steven Spielberg, 2011), illustre la fidélité et la force du lien entre l’homme et l’animal, sur fond de Première Guerre mondiale.

  • L’étalon noir (The Black Stallion, 1979) raconte une relation fusionnelle entre un enfant naufragé et un cheval sauvage. Ce film culte reste une ode à la beauté et à la puissance de l’animal.

  • Seabiscuit (2003), inspiré d’une histoire vraie, met en lumière un cheval de course chétif devenu champion national américain pendant la Grande Dépression — une leçon de courage et de persévérance.

Et comment oublier les chevaux mythiques des westerns ? Le célèbre Trigger, monture de Roy Rogers, ou encore Silver, compagnon du Lone Ranger, ont eu leurs fans, leurs jouets, et même leurs lettres de fan-club !

 

Un défi de tournage : quand le cheval devient acteur

Faire jouer un cheval n’a rien d’anodin. Derrière chaque scène réussie se cachent des semaines de préparation, des dresseurs spécialisés et une relation de confiance entre l’animal et l’équipe de tournage.

Les chevaux de cinéma apprennent à répondre à des signaux invisibles (voix discrète, gestes, regards) et à rester calmes dans des environnements bruyants : explosions, caméras, foule… C’est un véritable travail d’acteur, basé sur la patience et la compréhension du comportement équin.

De plus, les règles de tournage sont très strictes : la présence d’un vétérinaire et d’un représentant d’association de protection animale est obligatoire. Aujourd’hui, le bien-être des chevaux de tournage est une priorité absolue, et de nombreux films utilisent même des effets spéciaux numériques pour éviter toute mise en danger réelle.

 

Des films qui célèbrent le lien entre l’homme et le cheval

Le cinéma a su capturer la relation si particulière qui unit l’homme et le cheval. Ces films ne parlent pas seulement de cavaliers et de montures, mais aussi de confiance, de respect et de rédemption.

Dans L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux (1998), le cheval devient le miroir de la douleur humaine. Blessé et traumatisé, il guérit peu à peu grâce à la douceur et la patience d’un homme qui comprend son langage.
Dans Dreamer (2005) ou Phar Lap (1983), le cheval redonne espoir à ceux qui avaient tout perdu.
Chaque film met en avant une vérité simple : le cheval ne juge pas. Il ressent, il écoute, et il offre à l’humain la possibilité de se reconnecter à lui-même.

 

Pourquoi les chevaux nous touchent autant au cinéma

Le succès des films avec des chevaux s’explique par la puissance symbolique de cet animal. Dans toutes les cultures, le cheval évoque la liberté et la force vitale. Quand il galope à l’écran, il réveille en nous un instinct ancestral, un désir de nature, d’espace et de mouvement.

De plus, son regard, d’une grande profondeur, capte les émotions mieux que n’importe quel mot. Il suffit d’un plan serré sur les yeux d’un cheval pour que tout un public ressente l’empathie, la peur ou la tendresse. Peu d’animaux possèdent une telle présence cinématographique.

 

Un avenir prometteur pour les chevaux du 7ᵉ art

Même à l’ère des effets spéciaux et des créatures numériques, le cheval garde sa place. Les réalisateurs continuent de le filmer pour sa grâce naturelle et son authenticité. On le retrouve dans les grandes sagas fantastiques comme Le Seigneur des Anneaux ou Game of Thrones, où il accompagne les héros dans leurs quêtes épiques.

Et les documentaires animaliers, comme Cavalia ou Horsepower, continuent d’émerveiller en montrant le cheval dans toute sa vérité : libre, puissant, sensible.

 

En conclusion

 

De la poussière des westerns aux prairies animées des films pour enfants, le cheval a su imposer son charisme sur grand écran. Plus qu’un simple partenaire de tournage, il est un acteur à part entière, un symbole universel de liberté et d’émotion.
Et si les humains écrivent les scénarios, ce sont souvent les chevaux qui en volent la vedette.