L'hippopotame (du grec hippo potamos qui signifie, cheval du fleuve) est l'animal terrestre le plus gros après l'éléphant .Possédant une peau très épaisse, grise et légèrement rosée, l'hippopotame est doté d'un corps lourd et massif. Capable de voir et d'entendre parfaitement dans l'eau, l'hippopotame est autant à l'aise dans l'élément liquide que sur la terre, et peut courir à la vitesse de 40 km/h. Armé d'une dentition extraordinaire, notamment de canines, atteignant près de 60 cm, l'hippopotame, malgré son allure placide, peut devenir extrêmement dangereux et imprévisible. En Afrique, l'hippopotame cause plus de décès chez les hommes, que les félins ou les serpents.
NOM : Hippopotame (Hippopotamus amphibius)
CLASSE : Mammifère
ORDRE : Cétartiodactyle
FAMILLE : Hippopotamidé
TAILLE : longueur de 3,5 à 5 m, hauteur au garrot 1,50 m
POIDS : 1500 kg à 4000 kg
DUREE DE VIE : 40 ans
REPARTITION : Ouganda, Soudan, Congo, Bostwana
HABITAT : Lac, fleuve
ALIMENTATION : Herbivore : Graminés; plantes à racines.
REPRODUCTION : La maturité sexuelle de l'hippopotame est atteinte entre 5 et 8 ans, la durée de gestation est de 8 mois, et la femelle ne donne naissance qu' à un seul petit.
PREDATEURS : seul les petits peuvent être attaqués par les léopards, les lions ou les crocodiles.,
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Patoun s’est imposé comme une référence pour transformer les compagnons à quatre pattes en véritables œuvres d’art. En quelques clics, il devient possible de créer un tableau sur mesure à partir d’une simple photo.
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Beaucoup d’étudiants rêvent de devenir vétérinaires, mais les places en France sont limitées et la concurrence est très rude. Heureusement, il existe d’autres options. Partir étudier à l’extérieur peut être une excellente solution. De nombreuses universités accueillent des étudiants internationaux et proposent des formations de qualité. Encore faut-il savoir où chercher. Dans cet article, vous découvrirez les étapes pour choisir la bonne école, les pièges à éviter et les ressources qui peuvent vous aider.
Avant de vous lancer, il est primordial de savoir ce que vous cherchez. Souhaitez-vous étudier en français, en anglais ou dans une autre langue ? Quel est votre budget ? Êtes-vous prêt à vivre à l’étranger pendant plusieurs années ? Quelles sont vos attentes concernant la qualité de l’enseignement ? Voilà autant de questions auxquelles vous devez répondre avant d’aller plus loin.
Après avoir clarifié vos besoins, il faudra collecter les informations pour faire un choix éclairé. À ce stade, la plateforme Hippocrate.io, développée par GEDS, pourrait vous accompagner depuis le choix de l’université jusqu’à l’inscription. Il s’agit d’une structure spécialisée dans l’orientation vers les études de santé en Europe, dont l’accompagnement est un vrai plus pour les étudiants.
Si vous rêvez d’une formation sérieuse, accessible et reconnue, vous pouvez faire des études de vétérinaire avec La CESPU, une université partenaire de GEDS située au Portugal. Chaque année, elle attire de nombreux étudiants français grâce à son programme de master intégré en médecine vétérinaire, une formule pratique qui regroupe licence et master en un seul cursus.
Plusieurs pays européens offrent d’excellentes formations vétérinaires. Le Portugal, l’Espagne, la Hongrie ou encore la Roumanie sont autant de destinations qui accueillent chaque année de nombreux étudiants en médecine vétérinaire. Ces universités proposent des programmes variés, souvent accessibles sans concours, avec des conditions d’admission plus souples qu’en France.
Il est important de prendre le temps de comparer les cursus proposés. La durée des études peut varier, tout comme la langue d’enseignement, les modalités de stage, ou encore les débouchés professionnels. Certains établissements mettent l’accent sur la pratique clinique, d’autres sur la recherche ou la prévention en santé animale. La reconnaissance du diplôme dans l’Union européenne est également un critère à ne pas négliger.
Une fois votre choix fait, il vous faudra constituer un dossier solide. Cette étape demande rigueur et organisation. Il est souvent nécessaire de traduire des documents officiels, de rédiger des lettres de motivation adaptées à chaque université et de respecter les délais imposés. Le processus peut paraître fastidieux, surtout si vous ne connaissez pas bien les démarches administratives à l’étranger.
C’est précisément dans ces moments que le soutien d’un organisme spécialisé comme GEDS peut faire toute la différence. Leur rôle est de vous accompagner tout au long de la procédure, de la préparation du dossier jusqu’à l’acceptation par l’université. Grâce à leur plateforme Hippocrate.io, les démarches sont centralisées, simplifiées et sécurisées. Vous êtes conseillé et guidé à chaque étape. Pour beaucoup d’étudiants, c’est un véritable gain de temps et d’énergie.
Pour conclure, trouver la bonne formation vétérinaire en Europe demande un peu de réflexion, mais c’est tout à fait possible. Commencez par définir vos critères, explorez les universités sérieuses, préparez votre dossier avec soin et n’hésitez pas à vous faire accompagner. Avec l’aide d’un organisme fiable tel que GEDS et sa plateforme Hippocrate.io, vous mettez toutes les chances de votre côté pour réussir.
Les chiens ne sont pas seulement de fidèles compagnons, ils jouent également un rôle clé dans de nombreux domaines professionnels. Que ce soit en tant que chiens de travail sur le terrain ou en tant que compagnons de bureau favorisant le bien-être des employés, leur présence a un impact indéniable sur notre quotidien. Décryptage des différentes facettes des chiens au travail.
Certains chiens sont sélectionnés et entraînés pour accomplir des missions essentielles dans des secteurs variés :
Chiens policiers et militaires 🐕🦺 : Utilisés pour la détection de drogues, d'explosifs ou encore pour la recherche de personnes disparues, ces chiens font preuve d’une concentration et d’une discipline exceptionnelles. Le Berger belge malinois est l’une des races les plus sollicitées pour ces missions en raison de son intelligence et de sa rapidité d’apprentissage.
Chiens de sauvetage ⛑️ : Présents dans les zones sinistrées après des catastrophes naturelles ou en montagne, ces chiens spécialisés sont capables de retrouver des personnes sous les décombres ou ensevelies sous la neige. Les Terre-Neuve, grâce à leur endurance et leur capacité à nager, sont également utilisés pour le sauvetage en mer.
Chiens d’assistance et de thérapie ❤️ : Qu'il s'agisse d'aider les personnes en situation de handicap ou d'apporter du réconfort dans les hôpitaux et les maisons de retraite, ces chiens améliorent la qualité de vie de nombreuses personnes. Certains chiens sont même dressés pour détecter des crises d’épilepsie ou alerter en cas d’hypoglycémie chez les diabétiques.
Chiens de berger et de protection des troupeaux 🐑 : Indispensables pour les éleveurs, ils permettent de guider et de protéger les troupeaux contre les prédateurs. Le Border Collie est particulièrement réputé pour son instinct de troupeau et sa capacité à répondre aux ordres précis de son maître.
Avoir un chien au bureau est de plus en plus populaire. Plusieurs études ont démontré les bienfaits de leur présence dans un environnement de travail :
Réduction du stress 🧘 : La présence d’un chien favorise la détente et réduit l’anxiété des employés.
Amélioration de la cohésion d’équipe 🤝 : Les chiens favorisent les échanges entre collègues et créent une ambiance plus conviviale.
Augmentation de la productivité 🚀 : Un environnement détendu et agréable permet d’améliorer la concentration et l’efficacité.
Meilleure conciliation travail-vie personnelle 🏡 : Permettre aux employés de venir avec leur chien évite le stress lié à leur absence et aux frais de garde.
Cependant, la présence de chiens en entreprise nécessite quelques précautions :
S’assurer que tous les employés sont à l’aise avec les animaux.
Prévoir des espaces adaptés aux chiens (coin repos, gamelle d’eau).
Mettre en place des règles de cohabitation pour éviter les désagréments.
Vérifier que l’environnement est sécurisé et adapté à la présence animale.
Instaurer une politique claire sur l’hygiène et la gestion des éventuels incidents.
Certaines grandes entreprises comme Google ou Amazon permettent déjà aux employés d’amener leurs chiens, et cette tendance commence à s’étendre à d’autres secteurs, notamment les start-ups et les espaces de coworking.
Avec l’essor des réseaux sociaux, de nombreux chiens sont devenus de véritables influenceurs canins 🐶📸. Grâce à leurs photos adorables et leurs vidéos virales, ils sont sollicités par des marques pour des partenariats, générant parfois des revenus impressionnants. Certains chiens sont même devenus des égéries pour des grandes marques de pet food ou d’accessoires.
Des comptes Instagram comme ceux de Loki the Wolfdog ou Jiffpom attirent des millions d’abonnés, générant ainsi des contrats publicitaires lucratifs. Ces chiens ne se contentent pas d’être mignons, ils participent aussi à des campagnes de sensibilisation sur l’adoption ou le bien-être animal.
Qu’ils soient policiers, thérapeutes, sauveteurs ou encore influenceurs, les chiens jouent un rôle crucial dans de nombreux secteurs. Leur présence apporte non seulement une aide précieuse dans certaines professions, mais améliore aussi la qualité de vie au travail. De plus en plus d’entreprises ouvrent leurs portes aux chiens, et cette tendance ne semble pas près de s’arrêter !
Le rôle des chiens dans le monde du travail ne cesse d’évoluer, et à mesure que les mentalités changent, il est probable que nous verrons encore plus d’opportunités pour nos compagnons à quatre pattes d’apporter leur contribution précieuse à la société.
Parmi les races de chiens les plus emblématiques et attachantes, le Samoyède occupe une place de choix. Ce chien au pelage immaculé et au sourire légendaire séduit les amoureux des animaux par son tempérament amical et son allure majestueuse. D'origine sibérienne, il a longtemps accompagné les peuples nomades dans les environnements les plus hostiles. Aujourd’hui, il est devenu un formidable compagnon pour les familles du monde entier. Découvrons ensemble l’histoire, les caractéristiques et les besoins de cette race exceptionnelle.
Le Samoyède tire son nom du peuple nomade Samoyède, originaire de Sibérie, qui utilisait ces chiens pour la chasse, la garde des troupeaux de rennes et surtout pour tirer des traîneaux. Leur rôle était essentiel pour ces populations vivant dans des conditions climatiques extrêmes. Grâce à leur pelage dense et isolant, ces chiens pouvaient affronter les températures glaciales sans difficulté.
Lorsque les explorateurs occidentaux découvrirent le Samoyède à la fin du XIXe siècle, ils furent immédiatement séduits par son endurance et son caractère docile. Il fut rapidement introduit en Europe et en Amérique, où il devint un compagnon apprécié autant pour sa beauté que pour sa gentillesse. Aujourd’hui, le Samoyède est un chien de compagnie recherché, bien que certaines lignées soient encore utilisées pour le travail en traîneau.
L’une des premières choses qui frappent chez le Samoyède est son apparence majestueuse. Voici ses principales caractéristiques physiques :
Taille : Entre 50 et 60 cm au garrot selon le sexe
Poids : De 16 à 30 kg
Pelage : Long, dense et double (un sous-poil laineux et un poil de couverture plus long)
Couleur : Toujours blanc, parfois crème
Yeux : En amande et foncés, reflétant une grande intelligence
Oreilles : Dressées, de taille moyenne et légèrement arrondies
Queue : Enroulée sur le dos, souvent portée en panache
Le Samoyède est souvent surnommé "le chien au sourire" en raison de l'expression caractéristique de son museau, qui lui donne une allure joyeuse et bienveillante.
Le Samoyède est avant tout un chien amical et sociable. Son caractère bien trempé le rend idéal pour les familles, mais il possède également des besoins spécifiques :
Affection et loyauté : Il adore être entouré de sa famille et déteste la solitude.
Énergie débordante : C’est un chien dynamique qui a besoin de se dépenser quotidiennement.
Grande intelligence : Il comprend vite les ordres mais peut se montrer têtu.
Sociabilité : Il s’entend bien avec les autres animaux et les enfants.
Il convient cependant de noter que le Samoyède n’est pas un chien de garde efficace : il est trop amical avec les étrangers pour être dissuasif !
Son pelage somptueux requiert un entretien régulier pour éviter les nœuds et la perte excessive de poils. Voici quelques conseils pour prendre soin de lui :
Brossage : Deux à trois fois par semaine pour éviter les bourres de poils.
Bains : Inutiles trop fréquemment, car son poil est naturellement autonettoyant.
Alimentation équilibrée : Privilégier une nourriture riche en protéines pour maintenir sa musculature et la santé de son pelage.
Exercice physique : Longues promenades, jeux et stimulation mentale sont essentiels pour éviter l’ennui.
Bien qu’il soit intelligent, le Samoyède peut aussi être têtu. Son éducation doit donc être amorcée dès son plus jeune âge. Il réagit bien aux méthodes d’apprentissage positives basées sur la récompense et l’encouragement.
Socialisation précoce : Il doit être habitué dès chiot à rencontrer d’autres chiens, animaux et personnes.
Rappels et obéissance : Un travail rigoureux est nécessaire, surtout pour éviter qu’il ne s’éloigne lors des promenades.
Activités ludiques : Il apprécie les jeux interactifs et les activités de recherche.
Avant d’adopter un Samoyède, il est essentiel de bien évaluer si cette race correspond à votre mode de vie :
Vous êtes sportif ? Ce chien adore bouger et vous suivra volontiers dans vos randonnées et joggings.
Vous avez du temps ? Il ne supporte pas bien la solitude et a besoin de beaucoup d’attention.
Vous êtes prêt à entretenir son pelage ? Un brossage régulier est indispensable pour éviter les problèmes de poils emmêlés.
Vous vivez en appartement ? Ce n’est pas impossible, mais il lui faudra de longues sorties quotidiennes.
Si vous pouvez répondre à ces critères, le Samoyède saura vous apporter une compagnie fidèle et joyeuse !
Le Samoyède est un chien exceptionnel, à la fois majestueux et plein de tendresse. Son sourire légendaire et son caractère enjoué en font un compagnon idéal pour les familles actives et les amoureux des grands espaces. Toutefois, son entretien demande du temps et de l’engagement. Si vous êtes prêt à relever le défi, vous aurez à vos côtés un ami loyal, joueur et toujours de bonne humeur !
Monter à cheval est une discipline exigeante qui demande technique, patience et rigueur. Que l’on soit débutant ou cavalier confirmé, il est facile de prendre de mauvaises habitudes. Voici les dix erreurs les plus fréquentes à cheval et nos conseils pour les éviter.
Une mauvaise posture peut engendrer des déséquilibres et des tensions, aussi bien pour le cavalier que pour le cheval. Se pencher en avant, arrondir le dos ou laisser ses jambes ballantes sont des erreurs courantes.
Comment l’éviter ? Adoptez une position neutre : le dos droit mais souple, les épaules détendues, les talons en bas et les jambes au contact du cheval sans crispation. Pensez à vérifier votre posture régulièrement.
Beaucoup de cavaliers ont tendance à compenser leur manque d’équilibre en s’accrochant aux rênes, ce qui est inconfortable pour le cheval et peut entraîner une défense (hochement de tête, résistance, inconfort).
Comment l’éviter ? Travaillez votre équilibre et votre assiette pour ne pas dépendre des rênes. Utilisez des mains légères et suivez le mouvement de l’encolure avec souplesse.
Monter à cheval sans échauffer son cheval peut causer raideurs et tensions, augmentant ainsi le risque de blessures.
Comment l’éviter ? Prenez toujours le temps de marcher votre cheval au pas pendant au moins 10 minutes avant de commencer un travail plus intense.
Des jambes trop crispées ou trop relâchées nuisent à la communication avec le cheval. Une jambe inefficace peut rendre les aides floues et empêcher une bonne impulsion.
Comment l’éviter ? Apprenez à avoir une jambe fixe mais détendue, qui agit avec finesse et sans excès. Un bon travail à la longe peut aider à améliorer votre ressenti.
Une main dure ou trop figée empêche le cheval d’avoir une bouche souple et réceptive aux indications du cavalier.
Comment l’éviter ? Travaillez votre souplesse en montant avec un léger contact et en veillant à garder vos poignets détendus. Pensez au mouvement du cheval et accompagnez-le.
Un cavalier inattentif ou qui ne prévoit pas les réactions de son cheval peut être pris de court et perdre le contrôle de la situation.
Comment l’éviter ? Restez attentif aux signaux du cheval (oreilles, attitude, souffle) et adaptez votre comportement en fonction de ce qu’il vous communique.
Répéter inlassablement les mêmes exercices sans varier peut ennuyer votre cheval et limiter sa progression.
Comment l’éviter ? Alternez les exercices et disciplines (travail sur le plat, obstacles, balade, longues rênes…) pour garder votre cheval motivé et éviter la monotonie.
Le stress ou la peur peuvent entraîner une crispation, ce que le cheval ressent immédiatement.
Comment l’éviter ? Apprenez à respirer profondément et à relâcher les tensions. Un cavalier détendu est plus efficace et rassurant pour son cheval.
Ne pas féliciter son cheval après un effort peut nuire à sa motivation.
Comment l’éviter ? Apprenez à récompenser votre cheval régulièrement, par une caresse, une voix douce ou un temps de repos, afin de renforcer positivement son bon comportement.
Vouloir brûler les étapes en sautant des étapes d’apprentissage peut créer des lacunes difficiles à corriger.
Comment l’éviter ? Soyez patient et respectez le rythme d’apprentissage de votre cheval. Travaillez progressivement pour obtenir des bases solides.
Éviter ces erreurs vous permettra d’améliorer votre équitation et d’avoir une relation plus harmonieuse avec votre cheval. L’équitation est un apprentissage constant qui demande observation, adaptation et remise en question. Gardez toujours en tête que le respect du cheval et une approche progressive sont les clés du succès.