Endémique de Madagascar et plus spécifiquement du Cap Ambre au nord de l'île, le lémur couronné est un petit primate dont la taille n'excède pas les 85 cm avec la queue. Diurne et se nourrissant principalement de fruits, de fleurs ou de feuilles, le lémur couronné dont le mâle se distingue par une fourrure roussâtre, tandis que celle de la femelle est grise, est un habile grimpeur et se sert de sa queue non préhensile comme d'un balancier. Fréquentant les forêts tropicales de feuillus et vivant par petits groupes de 10 à 15 individus dirigés par des femelles, le lémur couronné est aujourd'hui encore menacé par l'homme, ainsi que par la destruction de son habitat et est classé comme espèces vulnérables par l'IUCN.
NOM : Lémur couronné (Eulemur coronatus )
CLASSE : Mammifères
ORDRE : Primates
FAMILLE : Lémuridés
TAILLE : 35 cm, 85 cm avec la queue.
POIDS : 1,5 kg à 1,8 kg
DUREE DE VIE : 15 ans
REPARTITION : Nord de Madagascar (Cap d'Ambre)
HABITAT : Forêts de feuillus
ALIMENTATION : Frugivore : fruits, fleurs, feuilles....
REPRODUCTION : La maturité sexuelle du lémur couronné est atteinte vers l'âge de 1 an et demi, la durée de gestation est de 125 jours et la femelle donne naissance à 2 petits maximum.
PREDATEURS : l'homme, le fossa et les rapaces....
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Le Québec abrite un félin aussi rusé que discret : le lynx roux, aussi appelé bobcat. Contrairement à son cousin, le lynx du Canada, il est plus petit, mais tout aussi fascinant. Avec son pelage tacheté et sa queue courte ornée d’un bout noir, ce prédateur agile est un maître de l’adaptation. Découvrons ensemble cet habitant méconnu des forêts québécoises.
Le lynx roux vit principalement dans le sud du Québec, là où le climat est plus doux. Contrairement au lynx du Canada, qui préfère les forêts boréales denses, le bobcat s’accommode d’habitats très variés : forêts mixtes, marécages, prairies et même certaines zones périurbaines. Il est notamment présent en Montérégie, en Estrie et dans les Laurentides, bien qu’il reste extrêmement difficile à observer.
Le lynx roux est un prédateur polyvalent qui se nourrit d’une grande variété de proies. Il chasse principalement des rongeurs, des lièvres d’Amérique et parfois même de petits cerfs lorsqu’il en a l’opportunité. Contrairement à son cousin qui dépend beaucoup du lièvre, le bobcat s’adapte à ce qu’il trouve, ce qui lui permet de survivre même lorsque ses proies favorites se font rares.
Son mode de chasse est particulièrement impressionnant : il traque discrètement sa proie avant de bondir avec rapidité. Ses pattes robustes lui permettent de faire des sauts spectaculaires pour capturer ses proies par surprise.
Le bobcat est un animal territorial et solitaire. Il marque son territoire en griffant les arbres et en déposant des marques odorantes pour avertir les autres lynx de sa présence. Principalement actif la nuit et au crépuscule, il passe la journée caché dans des tanières qu’il trouve sous des rochers, des troncs d’arbres creux ou même dans d’anciens terriers abandonnés.
Durant la saison des amours, qui a lieu en février et mars, les mâles parcourent de longues distances à la recherche d’une femelle. Après une gestation d’environ deux mois, la femelle met au monde une portée de un à quatre petits, qui resteront avec elle pendant plusieurs mois avant de devenir indépendants.
Contrairement à son cousin le lynx du Canada, le bobcat ne dépend pas exclusivement de la neige pour chasser, ce qui lui permet de vivre dans des climats plus chauds.
Il est un excellent grimpeur et n’hésite pas à se réfugier dans les arbres pour échapper à un danger ou surprendre une proie.
Bien qu’il soit discret, il a parfois été aperçu près des habitations, notamment en quête de nourriture dans les zones rurales.
Bien que le lynx roux ne soit pas en danger immédiat, la destruction de son habitat et la circulation routière représentent des menaces importantes. De plus, certaines personnes le considèrent à tort comme un prédateur nuisible, ce qui peut mettre en péril sa population.
En protégeant les espaces naturels et en sensibilisant le public à l’importance de ce félin dans l’équilibre des écosystèmes, nous contribuons à préserver ce fascinant habitant du Québec.
Alors, la prochaine fois que tu exploreras les forêts québécoises, ouvre bien les yeux ! Peut-être auras-tu la chance d’apercevoir l’ombre furtive d’un bobcat, se faufilant entre les arbres avec une agilité remarquable.
Les jardins sont souvent le théâtre d’une lutte acharnée entre les jardiniers et certains insectes ravageurs. Ces petites créatures, bien que faisant partie de l’équilibre naturel, peuvent causer des dégâts considérables aux cultures et aux plantes ornementales. Voici une liste des dix insectes les plus nuisibles aux jardins français, avec des conseils pour les reconnaître et limiter leur impact.
Les pucerons sont de petits insectes suceurs de sève qui s’attaquent à une grande variété de plantes. Ils affaiblissent les végétaux et transmettent des maladies virales. Leurs colonies sont souvent visibles sur les jeunes pousses et sous les feuilles.
Comment les combattre ?
Favoriser la présence de coccinelles, utiliser du savon noir dilué ou du purin d’ortie.
Cet insecte est redouté non seulement pour les dégâts qu’il inflige aux pins en défoliant les aiguilles, mais aussi pour les risques sanitaires qu’il représente. Ses poils urticants peuvent provoquer des réactions allergiques sévères chez l’homme et les animaux.
Comment les combattre ?
Installer des pièges à phéromones et favoriser les prédateurs naturels comme la mésange.
Principal ravageur des plants de pommes de terre, le doryphore est un insecte vorace dont les larves consomment les feuilles, réduisant ainsi la capacité de la plante à produire des tubercules.
Comment les combattre ?
Ramasser manuellement les adultes et les larves, ou utiliser du purin de tanaisie en prévention.
Aussi appelé mouche blanche, cet insecte s’attaque particulièrement aux tomates et aux choux. En suçant la sève des plantes, il affaiblit leur croissance et favorise l’apparition de fumagine, une moisissure noire.
Comment les combattre ?
Installer des pièges jaunes englués et pulvériser du savon noir.
Ce coléoptère ravage les palmiers en creusant des galeries dans leur tronc. Les dégâts sont souvent visibles trop tard, lorsque la plante commence à dépérir.
Comment les combattre ?
Détecter les signes précoces d’infestation et traiter avec des nématodes spécifiques.
Cette chenille asiatique introduite récemment en France dévore les feuilles du buis et peut décimer une haie entière en quelques semaines.
Comment les combattre ?
Utiliser du Bacillus thuringiensis, un insecticide biologique efficace, et surveiller l’apparition des premières chenilles.
Ce papillon pond ses œufs sur les fruits en formation. Les larves pénètrent ensuite à l’intérieur des pommes et des poires, rendant les fruits véreux.
Comment les combattre ?
Utiliser des pièges à phéromones et introduire des auxiliaires naturels comme la guêpe parasitoïde.
Ces minuscules insectes piquent les feuilles et les fleurs pour en extraire la sève, provoquant des décolorations et des déformations.
Comment les combattre ?
Augmenter l’humidité, favoriser les prédateurs naturels comme les chrysopes et pulvériser des décoctions d’ail.
Elle est connue pour sa capacité à transmettre la flavescence dorée à la vigne, une maladie grave. Elle suce la sève des plantes et affaiblit leur croissance.
Comment les combattre ?
Utiliser des pièges chromatiques et introduire des insectes auxiliaires comme les coccinelles.
Cet insecte pond ses œufs sur les feuilles de poireau. Les larves creusent ensuite des galeries, provoquant un flétrissement et des déformations.
Comment les combattre ?
Installer un filet anti-insectes et alterner les cultures pour limiter la propagation.
Bien que ces insectes puissent causer des ravages dans nos jardins, il existe heureusement des méthodes naturelles et efficaces pour limiter leur prolifération. L’utilisation de prédateurs naturels, de purins végétaux et de barrières physiques permet de préserver un équilibre écologique tout en protégeant les cultures. Une surveillance régulière et des actions préventives sont les clés d’un jardin en bonne santé !
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Le sommeil est une nécessité pour la plupart des êtres vivants, mais saviez-vous que certains animaux peuvent se contenter de quelques minutes de repos par jour ? Dans le règne animal, certaines espèces ont développé des stratégies étonnantes pour minimiser leur temps de sommeil tout en restant efficaces et alertes. Découvrons ensemble ces champions de la vigilance !
Avec ses longues pattes et son cou élancé, la girafe impressionne par sa stature, mais aussi par sa capacité à se passer de sommeil. En moyenne, elle ne dort que 30 minutes à 2 heures par jour, souvent en courtes sessions de quelques minutes. Ce faible besoin en sommeil lui permet de rester sur ses gardes face aux prédateurs, tout en optimisant son temps pour se nourrir.
Les dauphins adoptent une technique de sommeil bien particulière : le sommeil unihémisphérique. Cela signifie qu’ils ne dorment jamais complètement, mais reposent une moitié de leur cerveau à la fois, l’autre restant active pour surveiller leur environnement et continuer à nager. Cette capacité leur permet de dormir tout en évitant les dangers et en maintenant leur respiration.
Les chevaux sont des dormeurs efficaces qui passent une grande partie de leur temps éveillés. Grâce à un système de verrouillage de leurs articulations, ils peuvent dormir debout et ne s’allonger que pour un sommeil profond très court. En tout, ils dorment environ 2 à 3 heures par jour, souvent en plusieurs petites phases.
Les éléphants sont également parmi les mammifères qui dorment le moins. À l’état sauvage, ils dorment en moyenne 2 à 4 heures par jour, principalement la nuit. Ils peuvent même passer plusieurs jours sans véritable sommeil lorsqu’ils migrent ou cherchent de la nourriture. Comme les chevaux, ils dorment souvent debout, bien qu’ils puissent s’allonger pour de courtes siestes profondes.
Parmi les oiseaux, l’albatros détient un record impressionnant : il peut dormir en plein vol ! Grâce à un mécanisme de sommeil partiel, il repose son cerveau tout en continuant à planer sur de longues distances. Cette capacité lui permet d’économiser du temps et de l’énergie, un atout crucial pour ces oiseaux marins qui passent la majeure partie de leur vie dans les airs.
Ces animaux ont développé des stratégies de sommeil uniques pour s’adapter à leur environnement. Que ce soit pour fuir les prédateurs, parcourir de longues distances ou simplement maximiser leur temps d’activité, ils nous montrent que le sommeil n’est pas une nécessité aussi absolue qu’on pourrait le croire… du moins, pas pour tout le monde !
Alors, la prochaine fois que vous vous plaindrez de manquer de sommeil, pensez à ces animaux incroyables qui tiennent le coup avec à peine quelques minutes de repos par jour !
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Si changer les croquettes de votre chat est une étape dans sa vie d’animal de compagnie, c’est généralement qu’il y a une bonne raison. En effet, opter pour de bonnes croquettes pour chat peut avoir un impact radical sur son bien-être global. Plusieurs raisons peuvent alors vous pousser à changer vos croquettes pour chat :
- Raison médicale : Parfois, certaines allergies, problèmes digestifs ou encore du surpoids nécessitent d’opter pour des croquettes pour chat adaptées.
- Changement des besoins nutritionnels : Avec l’âge, la stérilisation ou encore selon le mode de vie, certaines croquettes pour chat sont plus adaptées que d’autres.
- Meilleure qualité : Une alimentation de qualité peut faire toute la différence pour votre chat, changer pour des croquettes avec des ingrédients de meilleure qualité est généralement très bénéfique.
- Budget : Vous avez la possibilité de faire des économies en achetant des croquettes pour chat en gros volume. Assurez-vous cependant qu’elles sont toujours adaptées à ses besoins, et de qualité.
Pour introduire de nouvelles croquettes pour chat dans le quotidien de votre animal, la transition doit être progressive et sur plusieurs jours. Assurez-vous donc de disposer encore de ses anciennes croquettes. Ensuite, c’est une question de dosage :
- Jour 1 et 2 : 75% d’anciennes croquettes et 25% de nouvelles croquettes.
- Jour 3 et 4 : 50% d’anciennes croquettes et 50% de nouvelles croquettes.
- Jour 5 et 6 : 25% d’anciennes croquettes et 75% de nouvelles croquettes.
- Jour 7 et plus : 100% de nouvelles croquettes.
Certains chats seront plus sensibles que d’autres à ce type de changement, il existe donc des astuces qui permettront de rendre ce changement plus agréable.
Si votre chat semble réticent à manger avec les nouvelles croquettes, vous pouvez ajouter un aliment qu’il aime tout particulièrement comme de la pâtée par exemple. Cela l’encouragera à goûter et à se faire au goût et à l’odeur de ses nouvelles croquettes.
Un changement, quel qu’il soit, peut être source de stress pour votre animal. Si vous voulez que la transition se passe dans les meilleures conditions possibles, privilégiez un environnement calme et sécure au moment des repas. Plus apaisé, votre chat sera plus enclin à goûter les nouvelles saveurs que vous lui proposez.
De manière plus générale, choisissez d’opérer à ce changement lorsque votre animal se porte bien et ne subit pas de stress particulier.
Un changement d’alimentation peut avoir des conséquences sur le bien-être de votre animal. Plusieurs signes sont donc à surveiller durant cette période. Il y a des conséquences fréquentes qui sont des selles légèrement plus molles le temps de l’adaptation.
En revanche, si vous constatez des diarrhées persistantes, de vomissements ou encore un refus total de manger, revenez à l’étape précédente. C’est peut-être le signe que les nouvelles croquettes pour chat ne correspondent pas à votre animal. Si les symptômes persistent, n’hésitez pas à consulter un vétérinaire.
L'élevage canin professionnel requiert des infrastructures robustes, résistantes aux intempéries et faciles à entretenir. Grâce à Ferranti, spécialiste italien depuis 1981, les éleveurs peuvent désormais équiper leurs structures avec des solutions innovantes et adaptées. Découvrez dès à présent les Chenils Ferranti, conçus pour offrir sécurité, durabilité et facilité de gestion.
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